Jacquou le Croquant

Depuis le 17 janvier 2007, vous pouvez voir, en salle, cette adaptation cinématographique du roman d' Eugène Leroy  de 1899. Le film dure 2h30 alors, prévoyez le grand cornet de pop-corn.
A l'origine, ce roman avait déjà été adapté à la télévision française, en 1969, par Stellio Lorenzi en 6 épisodes de 50mn avec dans le rôle de Jacquou: Eric Damain.
Je crois que nous avons été nombreux à suivre les péripéties de ce croquant de périgordin que vous pouvez retrouver dans un coffret de 3 DVD.
A l'origine, Serge Putelat me rappelait que Philippe Haribi avait participé au casting, jusqu'au choix final, pour le rôle de Jacquou mais, qu'Eric Damien avait été préféré car Philippe était trop "typé".
Voici donc Philippe Haribi en compagnie de Serge Putelat alors qu'ils étaient en classe de fin d'études avec Mr Bersas en 1966 1967.

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D'autre part, Jean-Luc Imberty vient de me confirmer les vieux souvenirs que j'avais encore dans ma pauvre mémoire.
La maison de sa grand-mère avait servi de masure et non de lieu d'habitation à la mère de Jacquou après qu'ils lui aient détruit leur maison d'habitation. Cette masure était située sur la route des Eyzies et est maintenant entièrement détruite. Mais Jean-Luc me dit qu'elle resurgira de ses cendres dans un temps certain.
Etant gosses, mais quand même adolescents, Jean-Luc nous lançait comme projet de transformer cette masure en boîte de nuit. Ah! les rêves d'ado., on avait pas froid aux yeux. Rien ne nous paraissait impossible, pas plus les affaires que les femmes qui restent des affaires de coeur...

Si vous êtes allés voir ce film de Laurent Boutonnat vous pourrez laisser vos commentaires et impressions sur ce film ou sur les épisodes de 1969 en cliquant sur "commentaires" en dessous de ce message.
Je rajouterai des anecdotes dans ce dossier si vous m'en faites remonter.

Alain le blogmaster, croquant dans l'âme.

Comments

[Mourougaya Bob]

Le 09/05/2010,j'ai tapé "l'abri joyeux"Sarlat.
Je suis tombé sur le blog.3 personnes me connaissent sous le nom mourougaya robert:DESCAMPS/CHARBONNAU/BEDY que j'ai rencontrées alors que j'étais militaire à Brive.Surtout Jean Noel car nous étions tous les deux au CM 42 DE Brive en 1975.Pour ceux qui me liront ou auront de mes nouvelles sur ce blog,je vous dévoile mon identité que j'avais à Sarlat:QUACH Robert.pour preuve que c'est bien moi,Marty Henry est celui qui vous manque sur les photos CM1/CM2 Mr Périé.Il était lui aussi de l'abri Joyeux.De plus si les anciens se rappèlent bien(andré Castillot),Jai fini 1er de la classe CM2 pour la seule et unique fois.
Et je veux être de la réunion 2010 car j'aurai 55ans cette année.A tous les anciens dont j'ai encore le nom:Bouyssou,Le Troadec ,Castillot, Marty,Domnique Danois,Ferdinand Roger,Robert PLusquellec,Jean Pierre POudrouxetc...
Et ily a tellement de souvenirs dans ma mémoire sur Sarlat et L'Abri Joyeux.Bonne continuité à tous et pensées profondes aux disparus et à leur famille.

[petit "toune"]

cherche des anciens camarades de classes des annees 60 a 66 (ecole Ferdinand Buisson) Sarlat
- cp avec Mme Durand
- cm1 Mr Cabanel
- cm2 ?
- certificat d'etudes avec Mr Cheylat
Merci de vos reponses et aux plaisirs de revoir mes vieux copains
jean marc

[Blogmaster]

Bon, il ne faut pas se le cacher, mais je suis allé voir ce film en premier lieu pour retrouver les paysages de la Dordogne.
Et alors, pas glop, pas glop, la plupart du tournage a eu lieu en Roumanie dans les Carpates et j'avoue qu'au départ je cherchais où pouvait se trouver ce château à flanc de falaise? Car si d'un côté la Dordogne s'appuie souvent sur une falaise, de l'autre côté il y a en général une vallée. Là, nous sommes sur une rivière qui est encaissée entre des mouvements de terrain importants.
Bon, ceci mis entre parenthèses, le film déroule son histoire avec les moyens d'aujourd'hui où la caméra est beaucoup plus mobile et dynamique. Les décors sont très travaillés et définissent bien ce XIXème siècle périgordin.
L'athmosphère du film passe du miséreux aux moments de joie simple d'une paysannerie à bout de souffle.
Jacquou traverse son destin d'enfant et de jeune adulte encadré par d'excellents acteurs que sont Albert Dupontel, père de Jacquou (un croquant de tous les jours), Olivier Gourmet,le curé Bonal, Tchéky Kario, le chevalier et Jocelyn Quivrin le comte de Nansac.
Abstraction du faux décor roumain qui reste splendide j'ai passé un bon moment à revivre cette aventure de Jacquou même si on aura toujours à redire en comparant avec le roman ou avec le téléfilm. Il faut y aller sans à priori et se laisser baigner par cette adaptation de 2007 qui reflète les moyens de réalisation d'aujourd'hui avec une musique prépondérante, des scènes d'action avec une caméra mobile et bien sur des effets spéciaux.
Je vous conseille de retourner voir Jacquou.